December 10, 2014

News Release - Auditor General’s Report Paints Inaccurate Representation of the P3 Model

The Canadian Council for Public-Private Partnerships read with interest the report from the Ontario Auditor General on Alternative Financing and Procurement (also known as public-private partnerships or P3s) and is concerned that the report paints an inaccurate representation of the P3 model.

Moving past the headlines, the report confirmed many of the benefits of the model, including the savings as a result of avoided risk, the impeccable record of projects completed on-time and on-budget and where cost overruns have occurred, in the vast majority of cases the private sector was on the hook for the full amount. The Council agrees with the Auditor General’s observation that Infrastructure Ontario has a “strong record of delivering projects such as hospitals, courthouses, and detention centres on time and on budget.”

Today there are 220 P3/AFP projects in operation, under construction, or in procurement across Canada and across a variety of priority sectors of the economy. The value of those projects which have reached financial close exceeds $70 billion. Ontario is leading the way with over 100 AFP projects, the majority of which have been procured by the Government of Ontario.

The economic impact of these projects is clear and compelling. An independent study recently completed by InterVISTAS Consulting Inc. established the major impact of P3s on Canada’s economy, employment and competitiveness – not to mention quality of life, public facilities and services that matter to Canadians across the country. Cumulative economic impacts over the decade under review include:

  • 517,430 total full-time equivalent (FTE) jobs, including 290,680 direct FTE jobs
  • $32.2 billion in total income/wages and benefits, including $19 billion in direct income/wages and benefits
  • $48.2 billion in total gross domestic product (GDP), including $25.1 billion in direct GDP
  • $92.1 billion in total economic output, including $51.2 billion in direct economic output
  • $7.5 billion in tax revenue to government
  • $9.9 billion in cost savings for taxpayers over the traditional procurement method

“Infrastructure Ontario has gained an international reputation as a best-in-class procurement agency, overseeing award winning projects, and a stellar track record of ensuring projects are done on-time and on-budget, reducing risk to taxpayers, and delivering high quality infrastructure for Ontarians,” stated Mark Romoff, president and CEO for CCPPP.

“While some special interest groups will try to use aspects of this report for political gain, they are doing so void of facts. To believe that the public sector can deliver every project on-time and on-budget or even has the capacity to manage multiple, complex projects at the same time, is simply unrealistic. The record speaks for itself. The transfer of risk to the private sector has real value and taxpayers are tired of projects costing far more than initially budgeted, deficient design and construction, and deferred maintenance, which is why governments have turned to P3s,” added Romoff.

In particular, the report makes assumptions about the cost of delivering infrastructure under the traditional model without having any empirical evidence. In fact, the Auditor General recommends that the government collect this data.

“The Canadian Council for Public-Private Partnerships agrees with this recommendation because traditional procurements should be held to the same standard of scrutiny as P3s. We are confident that with full information, the benefits of P3s will be clearly evident,” stated Romoff.

Canadians are also overwhelmingly supportive of P3s, with 62 per cent being open to their use and that number rises to over 70 per cent in communities where residents are aware of a particular project. In fact, without P3s, 70 per cent of residents do not think the project would have gone ahead.

Though public-private partnerships are not a panacea, when used appropriately, Ontario’s track record demonstrates that they are consistently more effective at delivering the infrastructure Ontarians need today on-time, on-budget, at less cost and at less risk than traditionally procured projects. This could not happen without strong provincial leadership and we commend the government for its commitment to the AFP model and its efforts to ensure it remains the gold standard.

Le 10 décembre 2014

Le rapport du vérificateur général présente un tableau inexact du modèle P3

Le Conseil canadien pour les partenariats public-privé a lu avec intérêt le rapport du vérificateur général de l’Ontario sur la diversification des modes de financement et d’approvisionnement (DMFA) (également connue sous le nom de partenariats public-privé ou P3) et il est préoccupé par le fait que ce rapport dépeint de façon inexacte le modèle des P3.

En ne s’attardant pas aux gros titres, le rapport confirme un grand nombre des avantages du modèle, notamment les économies résultant du fait d’éviter les risques, le dossier impeccable de projets complétés à temps et dans les limites des budgets ainsi que le fait que, dans la grande majorité des cas, lorsque des dépassements de coûts sont survenus, c’est le secteur privé qui a été tenu d’en assumer le montant total. Le Conseil approuve la remarque du vérificateur général à l’effet qu’Infrastructure Ontario possède « un dossier solide de livraison de projets tels que des hôpitaux, des palais de justice et des centres de détention à temps et dans les limites des budgets ».

Aujourd’hui, on compte 220 projets P3/DMFA en opération, en construction ou en mode d’approvisionnement répartis dans l’ensemble du Canada et dans une gamme de secteurs prioritaires de l’économie. La valeur des projets qui ont atteint la clôture financière dépasse les 70 milliards de dollars. L’Ontario se situe en tête de file avec plus de 100 projets DMFA, dont la majorité ont été approvisionnés par le gouvernement de l’Ontario.

Les retombées économiques de ces projets sont claires et convaincantes. Une étude indépendante effectuée récemment par InterVISTAS Consulting Inc. a établi l’incidence positive majeure des P3 sur l’économie, l’emploi et la compétitivité du Canada, sans oublier sur la qualité de vie et sur les installations et services publics qui sont importants pour les Canadiens de l’ensemble du pays. Les retombées économiques cumulatives au cours de la décennie à l’étude incluent, entre autres :

  • 517 430 emplois équivalent temps plein (ETP) au total, dont 290 680 emplois ETP directs;
  • 32,2 milliards $ au total en revenus/salaires et avantages, dont 19 milliards $ en revenus/salaires et avantages directs;
  • 48,2 milliards $ au total en produit intérieur brut (PIB), dont 25,1 milliards $ en PIB direct;
  • 92,1 milliards $ au total en résultats économiques, dont 51,2 milliards $ en résultats économiques directs;
  • 7,5 milliards $ en revenus fiscaux pour le gouvernement;
  • 9,9 milliards $ en économies de coûts pour les contribuables comparativement à la méthode classique d’approvisionnement.

« Infrastructure Ontario s’est taillé une réputation internationale de meilleure agence d’approvisionnement de sa catégorie en supervisant des projets lauréats de prix et elle s’est constitué un excellent dossier en s’assurant que les projets sont réalisés à temps et dans les limites des budgets, en réduisant les risques pour les contribuables et en livrant des infrastructures de grande qualité pour les Ontariens », affirme M. Mark Romoff, président et directeur général du CCPPP.

« Même si des groupes d’intérêts spéciaux tentent de se servir de certains aspects de ce rapport pour se faire du capital politique, ils le feront sans se fonder sur des faits concrets. Il est tout simplement irréaliste de croire que le secteur public peut livrer chaque projet à temps et dans les limites des budgets ou même de croire qu’il a la capacité de gérer plusieurs projets multiples et complexes en même temps. Le rapport est éloquent en lui-même. Le transfert des risques au secteur privé constitue une valeur réelle et les contribuables sont fatigués des projets qui coûtent beaucoup plus qui ce qui avait été initialement prévu au budget, qui présentent une conception ou une construction déficientes ou dont l’entretien est différé, problèmes qui sont les raisons pour lesquelles les gouvernements se sont tournés vers les P3, » ajoute M. Romoff.

Surtout, le rapport formule des hypothèses sur le coût de livraison des infrastructures avec le mode d’approvisionnement classique sans s’appuyer sur des données empiriques. En fait, le vérificateur général recommande au gouvernement de recueillir ces données.

« Le Conseil canadien pour les partenariats public-privé est d’accord avec cette recommandation parce que les modes d’approvisionnement classiques devraient être soumis aux mêmes normes de contrôle que les P3. Nous sommes convaincus qu’avec une information complète, les avantages des P3 seront clairement évidents, » affirme M. Romoff.

De plus, les Canadiens soutiennent de façon claire les P3; en effet, 62 pourcent approuvent leur utilisation et ce pourcentage augmente à plus de 70 pourcent dans les collectivités où les résidents sont témoins d’un projet particulier. En fait, 70 pourcent des résidents estiment que le projet n’aurait pas pu aller de l’avant sans les P3.

Bien que les partenariats public-privé ne constituent pas une panacée, le dossier de l’Ontario démontre que lorsqu’ils sont utilisés de façon adéquate, les P3 sont constamment plus efficaces que les projets recourant au mode d’approvisionnement classique pour livrer à temps, dans les limites des budgets, à coût moindre et à moindre risque les infrastructures dont les Ontariens ont besoin aujourd’hui. Cela ne serait pas possible sans un leadership provincial solide, c’est pourquoi nous rendons hommage au gouvernement pour son engagement envers le modèle DMFA et ses efforts pour s’assurer que ce modèle demeure l’exemple à suivre.